Afin de mieux analyser le précédent débat, nous avons réalisé l'enquête suivante :
► Ce sondage a été réalisé auprès de 100 personnes (60 femmes et 40 hommes) toutes catégories socio-professionelles confondues.
Tout d'abord, 82% des personnes interrogées savent définir correctement le sigle OGM: Organisme génétiquement modifié
♦ Ce diagramme en secteur nous montre les différentes classes d'âge ayant répondu à nos questions
♦ Ce diagramme en barres nous montre les différentes catégories socio-professionelles sondées.
♦ Par ailleur, 71% pensent manger quotidiennement des OGM
♦ 73% des personnes sondées sont conscientes qu'il y a, à la fois des risques pour la santé et pour l'environnement. Seulement 8% pensent qu'il y a aucun risque ni pour la santé ni pour l'environnement.
♦12% de la population intérrogée pense que les OGM sont bénéfiques pour nourrir le monde et voterait OUI aux OGM si un référundum avait lieu. Par contre 69 % pensent que les OGM ne sont pas une solution pour repondre à cette demande croissante de nourriture et voteraient NON aux OGM si un référundum avait lieu.
♦ Les personnes ayant des enfants sont plus informés des risques des OGM et sont conscientes d'en manger régulièrement. Nous pouvons également remarquer que les OGM sont globalement méconnus de la population, cette ignorance a pour conséquence directe la peur des OGM.
Pour finir, ce sondage ne représente pas la population française car nous n'avons pas pu interroger plus de 100 personnes.
Ce sondage reflète tout de même bien la forte opposition aux OGM qui règne en europe ainsi que la crainte qu'évoque l'idée des OGM dans nos assiettes.
L'opinion des européens sur les OGM:
Tout d’abord, les européens sont 80% à avoir entendu parler de la nourriture transgénique (78% en Belgique, 91% en France) qu’ils ont tendance à considérer comme moralement inacceptable, inutile, risquée et surtout ne devant pas être encouragée. Ils sont également 27% à "plutôt" ou "totalement" encourager les OGM alimentaires (Belgique:27%, France:20%).
Plus précisément :
•58% les considèrent comme risqués, inutiles, inacceptables et à ne pas encourager
•25% les considèrent comme non risqués, utiles, acceptables et à encourager
•17% les considèrent comme risqués mais utiles, acceptables et à encourager